« Vous êtes chef d’entreprise, pouvez-vous nous présenter votre parcours et nous expliquer quelle est votre activité actuelle ? »
Il y a sept ans, après le décès de ma grand-mère, j’ai décidé de reprendre l’Atelier de Santons familial et de tenter de le sauver, j’avais en effet beaucoup de souvenirs d’enfance, de moments de complicité.
J’ai beaucoup hésité, c’était un gros projet qui voulait dire beaucoup d’implication personnelle et de travail mais je me suis finalement lancée.
« Pour quelles raisons avez-vous souscrit au PASS CMA LIBERTE ? »
Reprendre une petite entreprise comme la mienne, c’était se confronter à de nombreux défis. En tant que gérante, j’allais devoir prendre en charges des tâches des plus diverses. La partie artistique et technique ne me faisait pas trop peur car ma formation en Histoire de l’Art et mon expérience dans l’évènementiel culturel me donnait une vraie base.
Par contre, pour les parties juridiques, gestion et administration, hou là là … Ma découverte des services offerts par la CMA a été un vrai soulagement. Se faire conseiller est souvent très onéreux et grâce au Pass CMA Liberté, j’ai pu avoir accès à de nombreux interlocuteurs compétents et disponibles. Mr Durand, mon interlocuteur unique, a été d’une grande d’aide, il m’a facilement adressée aux professionnels concernés en fonction de chacune de mes problématiques.
« Qu’est-ce que vous appréciez dans cet abonnement ? »
J’ai ainsi pu me faire conseiller dans mon projet de site internet. Il s’agissait soit de reprendre un site existant vendant déjà nos santons, soit d’en créer un. J’ai été accompagnée tant au niveau juridique que commercial ou technique. Et honnêtement, c’est ce qui m’a permis de faire aboutir mon projet. J’ai aussi pu mettre en place un projet d’apprentissage.
J’ai profité de quelques-unes des nombreuses formations proposées par la CMA (un jour, j’aurais du temps et j’en ferais plein …), et intégrées gratuitement dans le Pass CMA, et j’ai chaque fois été impressionnée par le professionnalisme et l’abord humain des formateurs.
J’ai encore beaucoup de travail devant moi pour continuer d’équilibrer mon entreprise et je sais que je pourrais compter sur la CMA pour continuer de m’épauler.
Claire Franot-Souche, ATELIER CASSEGRAIN
